Vivre avec une maladie chronique | 3 étapes pour respecter ses limites
Je lis souvent sur les réseaux des commentaires de personnes qui racontent que leurs proches ne les comprennent pas. Ils ne respectent pas leurs douleurs, fatigue, maladie…
Je lis souvent sur les réseaux des commentaires de personnes qui racontent que leurs proches ne les comprennent pas. Ils ne respectent pas leurs douleurs, fatigue, maladie…
C’est une question que je retrouve très souvent sur les réseaux sociaux : la notion de devoir ou non parler de sa maladie à son employeur. Qu’est ce qui nous bloque autant dans le fait d’en parler ?
L’été arrive ! Et, avec lui, vient la perspective du mois d’août et des congés annuels. Souvent, ce mois là rime avec les voyages, à l’étranger ou non. Que l’on vienne d’apprendre le diagnostic d’une maladie ou que l’on connaisse sa maladie depuis longtemps, la question se pose souvent : “vais-je pouvoir voyager avec la sclérose en plaques, ma fibromyalgie, ma maladie de Lyme … ou tout autre maladie ?”
A travers cet article, je souhaitais présenter le témoignage d’Emeline, qui se forme en Gestalt thérapie. C’est une autre approche, toute aussi intéressante que la relation d’aide.
Nous avons tous en nous les ressources pour cheminer vers l’acceptation de la maladie.
J’ai entendu cette citation au détour de la conférence de Christophe André, Matthieu Ricard et Alexandre Jollien, il y a quelques années, à Paris. "C’est à travers le temps qui passe que nous cheminerons peu à peu pour accepter sa maladie."
Rester optimiste face à la maladie … Effectivement, en lisant cette phrase, on peut se dire qu’il y a là deux mots qui sont radicalement opposés. Pourtant, malgré les moments les plus sombres, je suis persuadée, qu’au fond de nous, il y a un point lumineux. Un espoir, qui ne demande qu’à être réveillé.
Pour certains, elle est avérée et reconnue dans leur vie de tous les jours, d’autres commencent à peine à s’en rendre compte. Mais, de nombreuses personnes ont mis un couvercle sur ce trop plein émotionnel. Pour la simple raison que ce trait de caractère, dans la société actuelle, nous fait nous sentir différents, incompris et parfois mal-vus.